![oes_1036-copie oes_1036-copie](http://www.olivieresnault.com/wp-content/gallery/madagascar-novembre-2011/thumbs/thumbs_oes_1036-copie.jpg)
![oes_0662-copie oes_0662-copie](http://www.olivieresnault.com/wp-content/gallery/maurice-rodrigues-2011/thumbs/thumbs_oes_0662-copie.jpg)
![img_0368copie img_0368copie](http://www.olivieresnault.com/wp-content/gallery/macro-france/thumbs/thumbs_img_0368copie.jpg)
![img_2209copie img_2209copie](http://www.olivieresnault.com/wp-content/gallery/mayotte-janvier-2011/thumbs/thumbs_img_2209copie.jpg)
![0044 0044](http://www.olivieresnault.com/wp-content/gallery/oiseaux-oi/thumbs/thumbs_0044.jpg)
![oes_1088-copie oes_1088-copie](http://www.olivieresnault.com/wp-content/gallery/madagascar-novembre-2011/thumbs/thumbs_oes_1088-copie.jpg)
Les phasmes sont réputés pour leurs aptitudes étonnantes à se fondre dans le décor végétal.
Malgré leur camouflage naturel, la rare observation du grand phasme vert de la Réunion, résulte du croisement de deux trajectoires : celle de l’observateur et celle de l’insecte.
Ce chipèque-bâton (c’est son nom créole) se complaisait en bordure de chemin, en forêt… Il a dû être saisi par la fraîcheur polaire des Hauts.
C’était il y a une dizaine de jours…
p.s. oui, oui, il est bien endémique !